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  TRADITIONS RELIGIEUSES ET POLITIQUES MALGACHES DANS L’OEUVRE DE PATRICK IHARILANTO ANDRIAMANGATIANA
  Revue des Sciences, de Technologies et de l’Environnement, volume II , 2020

  auteur : RAZAMANY Guy

  Mots clés : roi, ancêtres, religion, politique, royaume ; keywords : roi, ancêtres, religion, politique, royaume
  
  

  [FRS] Patrick Iharilanto Andriamangatiana peut être classé comme un auteur ethnographe sur les rites funéraires sakalavaet met dans le même contexte de son idée le courage de Marotombo lors des funérailles royales qui a osé affronteravec bravoure la mort et la fuite éperdue dans la forêt ténébreuse des membres de son clan, les Sambarivo. Laraison de leur sort en est que c’est l’un d’entre eux dans le royaume qui est destiné à être sacrifié pour faire la couched’un défunt roi sakalava afin que l’âme de celui-ci puisse continuer son voyage vers le monde des ancêtres ; et qu’ilpuisse garder son rang de divinité des ancêtres des rois et garder également son rang après Dieu le créateur selon lareligion traditionnelle malgache. Pour accomplir ce rite, c’était Dzangôa l’homme choisit pour faire la couche du corpsdu défunt roi. Après avoir consulté l’astrologue royal, on fait la décapitation par coutelas sacré du Dzangôa. Cetteréalité sociale et politique ancienne ressurgit souvent de manière inconsciente chez les Malgaches dans chaque crisepolitique dans leur pays. Elle est comme l’objet de notre analyse dans cette communication. Les résultats attendus etdémontrés ici seront la résurgence des crises politiques à Madagascar, que certains politiciens malgachescontemporains ont laissé leur population comme le Dzangôa pour protéger leurs pouvoirs. En conséquence, leurspartisans osent donner mêmes leurs vies pour exprimer l’attachement à leurs leaders politiques charismatiques.Pourquoi surgissent-elles actuellement ces traditions religieuses et politiques à Madagascar. Est –ce que ce paysn’est pas vraiment démocratique et laïque ? Nous choisissons la sociocritique accompagnée de l’analyse de fait dulangage comme la stylistique, l’analyse de discours et la thématique comme méthode d’analyse dans la mesure oùnotre corpus est un phénomène social dans la littérature.

  [ENG] Patrick Iharilanto ANDRIAMANGATIANA can be classified as an ethnographer author on the sakalava funeral ritesand puts in the same context of his idea the courage of Marotombo during the royal funeral who dared to face hisdeath with bravery and the flight in the dark forest of the members of his clan, called the Sambarivo. The reason fortheir fate is that it is one of them in the kingdom who is intended to be sacrificed in order to make the layer of adeceased sakalava king so that the king’s soul can continue his way to the world of the ancestors ; and that he cankeep his rank of divinity of the ancestors of kings and keep as well his rank after God, the creator, according to theMalagasy traditional religion. To accomplish this rite, Dzangôa was chosen to make the layer of the king’s cead body.After consulting the royal astrologer, Dzangôa was beheaded by sacred cutlass. This ancient social and politicalreality often re-appears unconsciously among the Malagasy people in each political crisis in their country. This is theobject of our analysis in this communication. The expected and demonstrated results here will be the resurgence ofpolitical crises in Madagascar, and that certain contemporary Malagasy politicians have left their population asDzangôa to protect their powers. As a result, their supporters even dare to give their lives to express their attachmentto their charismatic political leaders. Why do these religious and political traditions currently arise in Madagascar ? Is this country not really democratic and secular ? We chose sociocriticism accompanied by language facto analysis suchas stylistics, discourse analysis and thematic as a method of analysis since our corpus is a social phenomenon inliterature.

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