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  Le Sisal à Madagascar
  Madagascar : revue de géographie, volume 31, juillet-décembre 1977 pp:87 - 117

  Auteur(s) : Ramamonjisoa J.

  Auteur correspondant :

  Mots-clés : GEOGRAPHIE ECONOMIQUE/GEOGRAPHIE AGRICOLE/AGAVES/SISAL /AGAVE SISALANA/CULTURES/INDUSTRIE ET COMMERCE/MADAGASCAR / TOLIARA/ANOSY/AMBOASARY SUD
  
  

  Résumé de l’article

  [FR] L’étude fait une mise au point concernant le sisal environ cinquante ans après les premières plantations et en fonction des recherches antérieures. La culture du sisal se trouve aujourd’hui groupée dans le Sud-Est de Madagascar, dans la basse vallée du Mandrare. La première partie passe en revue le milieu naturel et les techniques d’exploitation. La seconde insiste particulièrement sur les incidences régionales de la culture industrielle de l’Agave sisalana et sur les efforts d’extension de la SIFOR dont l’activité se concentre sur la fabrication de produits manufacturés à base de sisal. Les perspectives à moyen et à long termes sur le plan international ne sont guère brillantes et pourtant, vues les conditions écologiques locales, il semble difficile de trouver une solution viable de remplacement car le problème de l’eau reste fondamental pour les habitants, pour leur bétail et pour les exploitations sisalières.

  [MG]

  [EN] Fifty years after the first plantations and according to the anterior researches, this study is doing a restatement of a question about sisal. Nowadays, culture of sisal is concentrated in the South–Eastern of Madagascar, in the Mandrare lower valley. The first part of the study is looking over the natural environment and the way of exploitation. The second one is particularly insisting on the regional incidences of the industrial culture of Agava sisalana and on the efforts extension of the SIFOR whose main activity is making manufactured articles from sisal. On the international situation, middle and long-dated terms are not very good ; and yet, because of the local ecological conditions, it seems rather difficult to find any fitting solution of substitution, unless to undertake some great parcelling out labour, because the water problem is still fundamental for the inhabitants, their cattle and their sisal fields.

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