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  • Le Cycle reproducteur chez la femelle de Chamaeleo lateralis Gray, 1831
    Annales de l’Université de Madagascar : série Sciences de la Nature et Mathématiques, volume 7, 1970 pp:345 - 358

    Auteur(s) : Blanc F.

    Auteur correspondant :

    Mots-clés : ANIMAUX ENDEMIQUES/REPTILES/SQUAMATES/CAMELEONS/ CHAMAELEO LATERALIS/FEMELLES/REPRODUCTION/MADAGASCAR/ ANTANANARIVO/ANALAMANGA/ANTANANARIVO RENIVOHITRA

    Résumé de l’article

    [FR] Le cycle reproducteur annuel d’un Caméléon de Madagascar : Chamaeleo lateralis a été déterminé à partir de l’examen du tractus génital de 1.100 femelles. Les jeunes femelles pondent pour la première fois à l’âge de trois mois environ : les pontes s’échelonnent du 15 novembre au 15 août ; un cycle de ponte dure deux mois et demi à trois mois et chaque femelle pond de 4 à 23 œufs, en moyenne, quatre fois par an. La durée de l’activité sexuelle et le nombre annuel des pontes dépendent du climat, en particulier de la sécheresse relative de la fin de la saison fraîche. Chez l’espèce étudiée, il existe une légère dissymétrie dans le fonctionnement des ovaires : l’ovaire gauche produit davantage d’ovocytes. Enfin, l’existence de migrations transcoelomiques d’une fréquence relativement élevée a été montrée.

    [MG]

    [EN] The annual reproductive cycle of Chamaleo lateralis, a chameleon of Madagascar, has been determined from the study of the genital tractus of 1.100 females. Young females lay eggs for the first time when about the three months old ; laying is spread from the 15th of november till the 15th of august ; a laying cycle lasts from two months and a half to three months, and each female lays from 4 to 23 eggs, on a average, four times a year. The duration of sexual activity and the annual number of layings depend on weather-conditions, especially on the relative drought towards the end of the cool season. In the species under consideration, there is slight dissymmetry in the working of the ovaries : the left one producing more ovocytes. Lastly, the existence of transcoelomic migrations occurring with relatively high frequency has been evidenced.

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